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BIYA L’HOMME QUI NE COMMENTAIT PAS LES COMMENTAIRES

Les hommes de Paul Biya nous en jettent plein la vue. Avec le come-back médiatique de Grégoire Owona, on a la confirmation que la communication du Gouvernement est en train de trouver un semblant de cohérence, les asymétries d’information sont de plus en plus rares. Bien sûr, on est encore dans une communication milieu de gamme qui hésite, achoppe, se rature, au point de perpétuer des schémas propagandistes, en dépit de quelques touches de modernité.

Les grandes réalisations sont vraisemblablement le chant du cygne de Paul Biya. Le président camerounais se refuse à donner à son œuvre une œuvre une impression de « fini » et ne dit toujours rien de sa succession.

Son image personnelle prévaut sur celle du Cameroun. Il y a toujours eu une cohérence dans ce qu’il renvoie et dans la perception qu’ont de lui les Camerounais.

Le Cameroun, c’est l’exécutif et le législatif

Le dimanche 20 juillet, un universitaire camerounais appelait implicitement à tuer notre chef. Sans le nommer, il faisait le parallèle avec les chefs de tribu que jadis l’on assassinait rituellement quand ils venaient à manquer de vigueur. Cette interprétation sélective et partiale de ce que furent nos traditions, qui voyaient en tout chef un vieux, signe une impuissance qui fait de la peine. Ses adversaires ne sont pas prêts à aller jusqu’au bout de leur logique pour conquérir Etoudi, Paul Biya est prêt à tout pour conserver son pouvoir, il l’a prouvé.

Éric Essono Tsimi | 31 Juillet 2012 | L’autre Afrik

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